Closer se promenait dans le village, comme tous tous les matins, à l'exeption près que ce matin là, il avait pour but de s'entrainer à l'art ninja. Problème, le jeune ninja en avait plus qu'assez de s'entrainer seul. Depuis qu'il est en âge de pratiquer l'art ninja, le jeune garçon sentrainait seul, désespérément seul, car le jour où il a peu pratiqué l'art ninja, était en plein dans la grande guerre shinobis. Depuis celle-ci, le village étant affaiblit financièrement et militairement, le village deveint quasiment désert. Les seuls ninjas encore en état de s'entrainer avec Closer, étaient des ninjas de sa génération, que le garçon trouvait terriblement stupides, immatures et arrogants. Ne sachant comment faire, il passa la matinée, airant comme un fantôme, dans les rues de Suna no kuni. Une fois le midi arrivé, il décida de partir manger des nouilles chinoises dans un restaurant proche du palais du Kazekage. Une fois attablé et le repas entamé, le garçon eut une idée. Bien qu'un peu folle, celle-ci restait la seul potentiel réponse aux souhaits de Closer. Pourquoi n'irait-il pas demander au gran maître de Suna, Sabaku no Gaara, de l'entraîner, afin de peut-être devenir le futur successeur au grade de Kazekage. La patience du garçon, en ce moment de solitude, passa le seuil critique de l'attente humaine. Le garçon partit en direction du palais des sables afin d'aller y trouver le Kazekage, Gaara. Après cinq minutes, le garçon se trouvait enfin devant la porte, donnant sur le bureau du maître des lieux. Le coeur palpitant, la sueur tombante sur le front du jeune homme. Il se décida, après un court instant d'hésitation, d'ouvrir la porte. Une fois dans la salle, le garçon prit de vitesse le Kazekage, et dit sans hésiter:
Bonjour Kazekage-sama. S'il vous plait, laissez moifinir aant de me donner votre réponse. Voilà, je viens en ce lieu, afin de vous demander si vous voudriez bien faire de moi votre tout premier disciple. Je sais que vous dire cela aussi certainement peut paraitre fou, mis sachez tout de même que j'ai retourner la question dans tous les sens, je ne voulais pas gacher une chance pareil. J'ai toujours été seul pour mes entrainements quotidiens et sachez que ceci, se faisant tout une vie, devient de plus en plus pesant au fil des années.
Enfin, le garçon avait osé. Il ne manquait plus qu'a cet instant, une réponse, de préférence positive, de la par du grand Kazekage.